L’offre et la demande, les vendeurs et les acheteurs ne retrouvent pas l’équilibre. Le secteur est en pleine activité, quoi qu’il en soit, des compensations et des corrections sont à effectuer. La demande est plus élevée que l’offre, il en est de même pour les locataires que les bailleurs.
La situation auprès des vendeurs
Seuls les prix correspondant à l’imposition du marché ont connu des contrats de ventes pour les vendeurs. Un autre aspect du marché est qu’il de plus en plus divisé pour les immobiliers localisés dans la côte et ceux à la campagne.
Les experts constatent que les acheteurs deviennent de plus en plus rares dans la zone rurale. Désormais, les intéressés ne représentent que les individus cherchant le calme, la nature et plus d’espace. En effet, sur la côte, ces points ne sont pas garantis. Quoi qu’il en soit, les acquéreurs souhaitent tous un logement à proximité de la plage et de la mer. Généralement rénové et aménagé, chaque bien dans cette catégorie constitue un immobilier de luxe.
Dans les communes et les villes suivantes, le volume de vente chute depuis les 9 derniers mois : Biarritz, Bidart, Guétharv, Chiberta, Ciboure et Anglet. En ce qui concerne le prix de la vente immobiliere biarritz, une relance de 10% est à considérer selon les experts. Comparé à l’année 2010, les ventes ont chuté jusqu’à 30%. D’un autre côté, les immobiliers de 3 à 5 hectares se raréfient également.
Un conseil pour les vendeurs est alors de retirer leurs biens le temps que la tendance s’inverse. En effet, ils risquent d’entrer en perte s’ils prennent de mauvaise décision. Ceci étant donné aussi que la hausse et la revalorisation des prix sont à estimer dans les années à venir. Une autre solution se présente également : la mise en location si le bien est en bon état.
Pour le cas des acheteurs
Les acquéreurs hésitent de plus en plus à conclure des promesses de vente même s’il s’agit d’un document capital pour l’obtention du financement.
Pour la plupart, la situation actuelle constitue une excellente opportunité pour acheter un immobilier qu’ils n’ont pas pu acquérir 3 ans plutôt. D’un autre côté, ils craignent que le marché aille continuer à s’effondrer.
Quoi qu’il en soit des investisseurs n’en manquent surtout à des biens qui répondent à leurs besoins et convenant à leurs budgets. Acquérir un immobilier constitue non seulement une création de capitale et une protection du patrimoine. En effet, avec la dette française incertaine et la crise financière, l’investissement dans la pierre représente une situation fiable. D’un autre côté, ils s’assurent que la revente est tout à fait possible dans le besoin. Outre l’achat, les acheteurs incluent directement dans leurs budgets les coûts des travaux. Quand le marché retrouvera sa stabilité, ils pourront les revendre à des prix beaucoup plus élevés.
Les prix actuels permettent comme même de dire que le marché est assez stable. Cependant, la situation ne va pas s’améliorer de si tôt avec la résistance des vendeurs ainsi que l’annulation de la mise en vente de certains.
D’un autre côté, la situation économique pénalise les acquéreurs. En effet, ils sont de plus en plus rares à prendre le risque de s’investir entre 2,5 et 5 millions d’euros. La majorité qui trouve la motivation nécessaire se situe entre 1 et 2,5 millions d’euros. Quoi qu’il en soit, des avis favorables ont été portés depuis les derniers mois sur l’évolution du marché dans le Pays Basque.